Ph. Hernigou, A. Poignard (Créteil)
Des études expérimentales et des études cliniques ont montré que s’il existait un potentiel de revascularisation de l’os mort par l’os vivant, le potentiel ostéogénique réparateur est faible dans les nécroses de hanche : le nombre de progéniteurs osseux situés dans la tête fémorale saine et dans la région trochantérienne est inférieur à celui des sujets normaux. Il est donc logique d’associer à ce forage un apport cellulaire.
La transplantation de moelle osseuse rouge permet d’améliorer la réhabitation de l’ostéonécrose grâce aux précurseurs ostéogéniques. En effet, aux stades précoces, la tête fémorale a gardé sa sphéricité. La zone de la nécrose est par définition acellulaire, du moins en ce qui concerne les cellules osseuses et la moelle osseuse. Mais, avant le stade III, la trame osseuse est intacte et garde en particulier sa résistance mécanique alors que le nombre de cellules présentes dans l’extrémité supérieure du fémur est anormalement faible. D’où l’idée d’adjoindre au forage classique, un apport cellulaire autologue prélevé sur la crête iliaque homolatérale par ponction de moelle. Aux stades I et II, la tête fémorale a gardé sa sphéricité et peut donc servir de substrat anatomique pour une greffe cellulaire. Le principe a été d’adjoindre au forage classique, un apport cellulaire autologue prélevé sur la crête iliaque par ponction de moelle (en moyenne 150 cc). La moelle est traitée sur un séparateur de cellules et centrifugée afin d’éliminer les globules rouges et les polynucléaires et ne garder que les éléments mononucléés représentant les cellules souches. La suspension myéloïde obtenue (25 ml) est injectée par le canal de forage dans la nécrose de hanche. Ce principe a été utilisé en thérapeutique pour traiter les nécroses de hanche de stade I et II. Les études récentes ont montré d’une part que la technique de l’autogreffe de moelle osseuse permettait de réduire le volume de l’ostéonécrose. Par ailleurs, une étude à long terme a montré que la technique était capable d’empêcher l’évolution de l’ostéonécrose lorsque le traitement était appliqué suffisamment précocement.
Los estudios experimentales y estudios clínicos han demostrado que si hay un potencial para la revascularización de la muerte del hueso por hueso vivo , la reparación potencial osteogénico es baja en ONFH el número de células progenitoras de la médula en la cabeza fémur sano en la región trocantérica y es menor que la de los sujetos normales . Por lo tanto, es lógico para asociar esta perforación ingesta celular.
El trasplante de médula ósea roja mejora el crecimiento hacia el interior de la osteonecrosis con precursores osteogénicos . De hecho, en las primeras etapas, la cabeza femoral ha mantenido su esfericidad . El área de necrosis es acelular , por definición , al menos con respecto a las células de hueso y médula ósea . Pero antes de la etapa III , estructura ósea está intacta y conserva su resistencia especialmente cuando el número de células presentes en el fémur proximal es anormalmente bajo . De ahí la idea de añadir a la perforación convencional , de entrada celular autólogo tomado de la punción de la médula ósea de cresta ilíaca ipsilateral. Etapas I y II, la cabeza femoral ha mantenido su esfericidad y , por tanto, pueden servir como sustrato anatómico para el trasplante de células . El principio fue la de añadir a la perforación convencional , la contribución celular autólogo de la cresta ilíaca punción ósea ( promedio 150 cc ) . Médula ósea se procesa en un separador de células y se centrifugó para eliminar las células rojas de la sangre y los neutrófilos y mantener sólo las células mononucleares que representan células madre . Mieloide suspensión obtenida ( 25 ml) se inyecta en el canal de perforación de la necrosis de la cadera . Este principio se ha utilizado terapéuticamente para tratar ONFH estadio I y II. Estudios recientes han demostrado que , por un lado la técnica de médula ósea autólogo posible reducir el volumen de la osteonecrosis . Además, un estudio a largo plazo mostró que la técnica fue capaz de prevenir el desarrollo de osteonecrosis cuando se aplicó el tratamiento a tiempo.